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De l'aventure d'une petite française à Athènes...

8 octobre 2012

Bienvenue...

 

Par où commencer...

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         Athènes. Débarquer dans un pays étranger est en soi toujours une aventure. Alors débarquer en Grèce, qui plus est à Athènes, en cette période de crise sociale sous les regards penchés d'une foule de personnes qui pensent votre saugrenue décision insensée devient carrément une folie. Oui, mais j'opte pour une folie douce dans ce cas!

J'ai découvert Athènes cette année à Pâques. Une saison peu touristique, un athènien torturé jusque dans ses entrailles pour guide et voilà où j'en suis en Octobre. Je ne parle pas grec, du moins depuis peu quelques mots utilitaires, je n'ai évidemment pas de travail ici, cependant je suis encore étudiante donc la chose n'est pas si handicapante, et si je ne suis pas venue ici avec l'idée de m'y installer pour toujours, je n'ai pour ainsi dire aucune idée de la date de mon départ. Oui, dis ainsi ça ne rassure pas des masses, mais l'aventure, c'est l'aventure, comme nous l'a si bien vendu Lelouch.

Autant dire directement que la Grèce n'est pas un pays occidental comme on pourrait le penser. Loin d'être un pays oriental non plus, elle est une construction sociale hybride dont aucun étranger ne peut dire qu'il a connu une vie similaire autre part. Ce sont mes débuts évidement et si je n'ai pas visiter des centaines de pays, j'en ai vu quelques uns tout de même. Pourtant, tout me semble particulièrement particulier ici.

 

         Je ne prétend pas à une étude pseudo-géo-politico-socio-philosophique, mais juste à un bout de vie décrit. Un morceau d'expérience. Qui sait certains seront peut-être preneur. Je pense qu'on ne sait jamais précisément d'avance pourquoi l'on fait quelque chose, alors qui vivra verra.

 

         Sur ce.

 

 

Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s'écartent,
Et, sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !

 

Baudelaire.

 

 

 

 

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